Actu ImAthis de Mai 2004

*Bonjour*	Pour préparer l’expo, nous avons rajouté une réunion le Jeudi 6 Mai afin de récupérer des maries-louises pour les photos en 20x30. Attention aux tirages numériques perso qui nécessitent d’autres formats genre A4.
*Rencontres*	Dates et lieu de nos prochaines réunions : les Jeudis 6, 13 et 27 Mai 2004 à l’Espace Michelet de 18h30 à 20h.
*Quota*	Comme nous sommes peu à exposer, vous pouvez monter jusqu’à dix photos pour l’exposition dont au moins une sur le thème « Ombre et lumière ». Sans compter les créations numériques illimitées.
*Sortie*	Pas de chance avec les sorties, cette année. Il pleuvait tellement le dimanche que la sortie au Château de Sauvage a été évidemment annulée. Partie remise en juin ?
*Expo*	Toute personne est la bienvenue pour aider à monter l’exposition le samedi matin à partir de 9h. Le vernissage a lieu le samedi à 18h.
*Skydom*	Les peintres de l’atelier-peinture de l’Espace Michelet seront les invités inattendus de notre exposition. Ils nous ont demandé amicalement de pouvoir exposer des tableaux sur le thème.
*Site*	Tous ceux qui peuvent mettre les photos qu’ils exposeront sous forme de fichier informatique au format .jpg et les transmettre à Daniel lui faciliteront le travail pour les mettre en ligne ensuite.
*Exposition*	Marc Riboud toujours mais cette fois à la Maison Européenne de la Photographie. Une très intéressante rétrospective du photographe jusqu’au 6 Juin.

La photographie est l’art de l’archive, non tant parce qu’elle permet d’archiver le passé que parce qu’exploiter une photo, c’est toujours exploiter une archive et que la même archive aura des usages et des réceptions différentes selon des moments et des perspectives de mise en oeuvre différents

Photomaton, paparazzo, tabloïd, pastiche, art brut, anti-photo pour commencer. Je n’étais pas limité par un format photographique ou des tabous ; j’essayais tout. Grain, flou, décadrages, déformation, accidents. Je déclenchais au hasard […] faisant rendre tout ce qu’il pouvait à ce procédé. Je fonçais tête baissée, dans tout ce qu’il ne fallait pas faire en photographie […] J’avais le sentiment que les peintres s’étaient libérés des règles :pourquoi pas les photographes ?